Le Belize

Le Belize,

Petit pays d’Amérique centrale, c’est le seul dont la population est noire en majorité (+de 60%), . C’est aussi le seul dont l’anglais est la langue courante.

La population non noire est constituée de chinois, d’Indous, et de Mexicains et de Mayas.

Le pays est souvent décrit comme peu sûr, pourtant nous n’y avons rencontré aucune agressivité et nous sommes toujours sentis en sécurité, même lors de nos bivouacs à Bélize City , qui soit dit en passant n’est pas la Capitale.

Première constatation immédiate après la frontière: La route est bonne et les topès peu nombreux et surtout situés à des endroits judicieux (entrée et sortie de village pour la plupart). Je dis La route car il n’y en a qu’une qui forme un grand Y dans le Bélize. Toutes les autres voies de circulation sont des pistes en terre plutôt en bon état pour celles que nous avons pratiquées.

La seconde constatation est que c’est plutôt propre contrairement au Mexique où la moindre zone d’arrêt en bord de route est transformée en dépotoir.

La troisième que nous constaterons un peu plus tard en visitant, c’est que la musique est plutôt bonne et surtout qu’elle n’explose pas au travers de haut parleurs saturés de basses comme au Mexique.

Sinon , pas grand chose à visiter, les sites archéologiques sont peu nombreux. Nous visiterons les restes de Lamanai accessibles après 50Km de piste.

Ils nous permettront de découvrir que de nombreux Mennonites vivent dans la région. Ce sont en fait de hamishs un peu moins rigoureux. Nous doublerons donc moult  carioles tirées par des chevaux.

 

Le site de Lamanai est intéressant car situé en pleine jungle et la ballade entre les différentes ruines est vraiment dépaysante.

Ensuite ce fut Belize City, la plus grande ville du Belize. 

 

Pas vraiment d’intérêt mais c’était le point de départ pour l’ile de Caye Caulker que nous avons adorée. C’est beau, c’est sur la barrière de corail, la seconde du monde après l’Australie. Nous y avons nagé avec les raies et les requins. Laila s’est essayée au masque et au tuba pour profiter au mieux de ces animaux peu communs pour nous.

L’eau était bien entendu chaude et translucide à souhait.

 

 

 

Nous sommes ensuite descendus jusqu’à Placencia, sorte de presqu’ile encore peu exploitée mais au vue des nombreux sites à vendre, il est fort probable que ce petit village de pêcheurs devienne dans quelques années, l’équivalent de Playa Del Carmen au Mexique. Un lieu hyper touristique où tout le monde vend la même chose, où tous les hôtels de « luxe » se ressemblent et où la police locale patrouille sans arrêt pour assurer la « sécurité « des quelques américains qui vivent là, ou qui y ont leur villa de vacances. Quand on peut pas se payer Miami, on vient frimer au Belize, c’est plus abordable.

 

La campagne Belizienne est des plus agréable. C’est la jungle avec toute la luxuriance que l’on imagine. Le relief est assez valloné, un peu comme le Guatemala .

 

Pas grand chose à voir mais malgré tout, mais c’est pour l’instant le seul pays où l’on aurait eu envie de s’installer si celà était d’actualité.

 


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Commentaires: 3
  • #1

    Campino (dimanche, 29 avril 2018 16:19)

    Choisissez votre villa on arrive dans 10 ans pour la retraite �
    Bises

  • #2

    Campino (dimanche, 29 avril 2018 16:24)

    Cuba n est pas au programme ?

  • #3

    Les Deb's (mercredi, 09 mai 2018 23:44)

    Et bien vous avez profitez du Belize ! On y est pas resté faute de beau temps et on va finir par regretter ;)

    Bonne suite profitez bien !